Pourquoi la question de la température du rosé bio du Ventoux se pose différemment en extérieur
Déjeuner sous la tonnelle, barbecue dans le jardin, pique-nique sur l’herbe : déguster son rosé bio du Ventoux en plein air, c’est forcément autre chose que le servir à l’ombre fraîche d’une salle à manger. Mais faut-il adapter les habitudes de refroidissement pour profiter au mieux de ce vin de caractère, à la fois solaire et subtil ?
La température de service est depuis toujours l’un des leviers les plus puissants pour révéler les nuances d’un vin. Mais ce qui est parfois négligé, c’est l’effet du contexte (extérieur vs intérieur), des variations de météo et du profil écologique des rosés bios, souvent plus fragiles à l’oxydation et aux chocs thermiques. Plus d’un amateur s’est retrouvé avec un rosé qui, en terrasse ou dans le fracas de la lumière, a perdu de sa vie, de son croquant, ou s’est rapidement “réchauffé” au point de devenir lourd.
Alors, ce rosé bio du Ventoux : un passage express au frais suffit-il, ou faut-il anticiper un peu plus ?